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D’après une étude de McKinsey (lien ici), plus de 65% des consommateurs ont adopté au moins une fois un service de commande via QR code dans le secteur de la restauration au cours des deux dernières années. Cette tendance ne se limite plus aux grandes villes ou aux chaînes internationales : elle gagne désormais les établissements de quartier, les cafés indépendants et même certains food trucks. Pourquoi cet engouement si rapide ?
En 2025, ces points se sont consolidés et perfectionnés. Les utilisateurs s’habituent à des interfaces toujours plus intuitives et personnalisées, faisant du QR code un «must» dans de nombreux concepts de restauration.
À l’origine, le QR code en restaurant servait surtout à consulter un menu dématérialisé. Puis, on a commencé à y intégrer des fonctionnalités de commande en ligne. Aujourd’hui, un cap supplémentaire est franchi: le règlement directement depuis l’interface. Plus besoin d’attendre qu’on vienne vous encaisser. L’addition est consultable en temps réel, et le paiement se fait en quelques clics sur le téléphone.
Ce mouvement s’est affirmé suite à la demande grandissante de solutions de paiement rapide et autonome. D’après un sondage mené par Statista (lien ici), 74% des personnes interrogées estiment qu’elles préfèrent régler leur note sans avoir à solliciter le personnel. Le gain en fluidité est immense. Et pour les restaurateurs, c’est un avantage concurrentiel évident:
Avec sunday, par exemple, la commande et le paiement par QR code forment un duo gagnant: le client scanne, choisit ses plats, ajoute un pourboire s’il le souhaite et laisse même un avis sur Google. Du point de vue du restaurateur, il s’agit d’une boucle vertueuse: non seulement le parcours client est simplifié, mais vous récupérez en plus des feedbacks précieux pour affiner votre offre.
Dans la foulée, la commande par QR code n’est plus figée. En 2025, on voit émerger des cartes numériques dynamiques: mises à jour selon la disponibilité des ingrédients, suggérant des plats complémentaires en fonction de la commande en cours, ou proposant des alternatives véganes et sans gluten. Cette personnalisation augmente la satisfaction client et incite à l’achat additionnel.
Concrètement, comment cela se traduit-il? Imaginons:
À la clé: un ticket moyen qui grimpe (grâce au cross-selling) et une expérience qui se rapproche de plus en plus d’une recommandation humaine, mais sans monopoliser le temps du personnel en salle. Et contrairement à un menu papier, le QR code peut être actualisé en permanence, évitant les réimpressions laborieuses ou les stocks de cartes obsolètes.
Les QR codes se perfectionnent. Ils deviennent parfois «intelligents» en intégrant de la reconnaissance vocale, pour ceux qui préfèrent dicter leur commande, ou de la reconnaissance visuelle, pour repérer les plats sur la table (notamment dans les concepts de restauration rapide où l’on récupère son plateau). Même si ces technologies sont encore naissantes, elles se démocratisent rapidement.
Que faire pour des client·e·s malvoyants, des personnes pour qui la lecture sur écran peut être fatigante, ou encore ceux qui ne souhaitent pas manipuler leur téléphone trop longtemps? La commande vocale peut combler ce besoin. On parle alors de QR code à fonctionnalités élargies: en le scannant, l’utilisateur active un assistant vocal qui lui lit la carte et l’accompagne dans la commande.
En 2025, selon les estimations de Voicebot.ai (lien ici), la commande vocale pourrait concerner jusqu’à 15% des consommateurs dans la restauration rapide. C’est loin d’être anecdotique, et c’est un vecteur d’inclusivité.
Certains QR codes ouvrent une interface qui reconnaît automatiquement ce que vous avez devant vous (un burger, une boisson précise, etc.). À partir de là, l’application peut suggérer des compléments ou afficher des informations sur les ingrédients. L’objectif: pousser la curiosité et encourager une commande plus fine. Si votre restaurant a des spécialités gastronomiques ou une carte complexe, c’est un vrai plus.
Une autre tendance marquante, c’est la fin des casse-têtes au moment de partager l’addition. Grâce au QR code, chaque convive scanne la table, sélectionne ses plats, règle sa part… et laisse un pourboire s’il le souhaite. Simple, transparent, et clairement plus convivial que le traditionnel “Qui doit combien?” autour d’une note chiffonnée.
Le pourboire digital, lui, s’est fortement développé. Dans plusieurs pays, le pourcentage moyen des pourboires a même augmenté depuis qu’ils sont proposés sur un écran (selon Square, une étude interne de 2024 le chiffre à +3 points en moyenne). Quand il est facile et rapide de glisser un complément, les consommateurs se montrent plus enclins à soutenir le personnel.
Là encore, sunday se démarque: en intégrant un module de pourboire sur l’écran de paiement, la plateforme rappelle délicatement l’importance de récompenser le service, mais sans forcer la main. Cette démarche, à mi-chemin entre la suggestion et la discrétion, correspond bien aux envies de la clientèle 2025, qui apprécie les formules sans pression.
L’essor du QR code ne profite pas qu’aux clients. Il offre aux restaurateurs un accès inestimable à des données sur les habitudes de commande. Quelles références se vendent le mieux à tel créneau horaire? Sur quels plats les client·e·s hésitent-ils avant de se décider? Quels produits complémentaires déclenchent le plus d’ajouts spontanés? Les chiffres recueillis peuvent aider à :
La clé, c’est de savoir traduire ces datas en actions concrètes. Loin d’être un gadget réservé aux grandes chaînes, cet outil peut favoriser l’agilité et la créativité, même dans un bistrot familial.
On peut craindre que la multiplication des QR codes et des commandes sur écran éloigne le client du personnel. Pourtant, la réalité est souvent inverse. Quand un serveur n’a plus besoin de courir apporter le terminal de paiement ou d’éditer une note papier, il peut se concentrer sur l’accueil, les conseils sur les plats, la présentation des vins… Tout ce qui fait la richesse d’une relation humaine.
En 2025, nombre de restaurants misent sur le QR code pour gérer la partie “mécanique” de la commande, tout en formant leurs équipes à renforcer l’aspect chaleureux. Résultat: moins de stress, plus d’échanges, et un service qui reste au cœur de l’expérience globale. Les clients savent qu’ils peuvent passer commande à leur rythme, mais aussi solliciter un conseil à n’importe quel moment.
Vous n’êtes pas obligé de réinventer la roue. Des solutions clés en main, comme sunday, simplifient chaque étape. Voici quelques pistes pour réussir votre transition :
Prendre ce virage digital, c’est offrir plus de liberté à vos convives et plus d’efficacité à votre organisation. Néanmoins, tout doit rester simple et fluide. Un QR code compliqué à scanner ou une interface peu ergonomique risquent de frustrer la clientèle.
En 2025, les restaurants ayant déployé le QR code pour la commande et le paiement observent une hausse de 15% à 25% de leur productivité, selon différentes estimations recueillies par Hospitality Tech (lien ici). Pourquoi? Parce que le personnel gère mieux son temps, que la rotation des tables est plus rapide et que l’addition moyenne grimpe légèrement (notamment via des suggestions additionnelles automatisées).
Les avis clients s’en trouvent aussi améliorés, puisque l’expérience paraît plus moderne et intuitive. Dans un marché où la e-réputation joue un rôle majeur, accumuler les commentaires positifs et les recommandations sur Google est un atout considérable. Certains établissements constatent même un bond de 20% à 30% de retours en ligne simplement en ajoutant un lien direct vers l’avis après le paiement.
Quant à l’aspect financier, les coûts initiaux sont relativement faibles (un abonnement à la solution, ou un pourcentage sur les transactions) comparés aux bénéfices opérationnels. De plus, vous pouvez limiter vos impressions de menus, réduire le temps de gestion de l’encaissement et mieux cibler vos réassorts en cuisine.
Personne ne peut prédire l’évolution exacte du secteur, mais une chose est sûre: la commande via QR code n’est pas un simple effet de mode. Au contraire, c’est l’un des piliers de la digitalisation progressive de la restauration. On peut d’ores et déjà imaginer, pour les années à venir:
Dans cet univers en pleine mutation, être réactif et curieux s’avère essentiel. Les client·e·s 2025 sont en quête d’expériences fluides, personnalisées et éco-responsables. Le QR code répond déjà à plusieurs de ces attentes, et son potentiel ne fait que grandir.
Que vous teniez un bar à tapas, une brasserie cosy ou une table étoilée, la commande par QR code peut s’intégrer à votre concept sans dénaturer l’esprit du lieu. Pensez-y comme à un outil, au même titre qu’un bon logiciel de caisse ou qu’une décoration soignée. Loin de gommer le contact humain, il le redirige là où il est le plus précieux: l’échange et le conseil.
C’est cet équilibre qui fait la force d’une solution comme sunday. Elle automatise la partie la plus mécanique (choix du plat, prise de commande, encaissement) pour permettre à vos équipes de se concentrer sur la dimension relationnelle. Une démarche bien menée améliore la satisfaction générale, ce qui se reflète ensuite dans votre notoriété et vos chiffres d’affaires.
En 2025, la question n’est plus vraiment de savoir si le QR code va s’imposer, mais plutôt comment vous allez l’adapter à votre propre style, à votre clientèle et à vos ambitions. Les possibilités sont multiples. L’important reste de garder le cap sur ce qui fait la beauté de la restauration: un accueil chaleureux, des plats savoureux, et un moment de convivialité que l’on a envie de partager… parfois même en un clic.
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