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Dans un restaurant, chaque euro compte. Du prix d’achat des matières premières aux charges fixes, le moindre centime peut faire la différence. L’encaissement n’échappe pas à cette règle, bien au contraire : il est souvent synonyme de frais bancaires, de commissions ou encore de temps passé par votre équipe à gérer les paiements. Pourtant, les restaurateurs n’ont pas toujours le réflexe de s’intéresser en détail à leurs coûts d’encaissement. Il est pourtant crucial de veiller à une facturation claire et à un processus fluide.
Cette quête d’économies n’est pas qu’une question de chiffre. Elle peut aussi améliorer l’expérience de vos clients, dynamiser votre image de marque et renforcer la productivité de vos équipes. Pourquoi ? Parce qu’une solution de paiement bien pensée réduit l’attente, facilite le pourboire et s’intègre parfaitement à votre organisation. Au final, moins de stress côté client, moins d’erreurs côté équipe, et plus de satisfaction pour tout le monde.
Pour autant, par où commencer ? Quels leviers activer pour optimiser ces coûts si particuliers ? Et surtout, comment s’assurer de choisir des outils adaptés à la réalité de votre restaurant ? Découvrons ensemble les pistes qui vous aideront à faire rimer maîtrise budgétaire et confort de travail.
Les frais bancaires représentent la portion la plus évidente des coûts d’encaissement. Ils comprennent les commissions sur chaque transaction, les abonnements pour le terminal de paiement, ou encore des coûts supplémentaires pour certaines fonctionnalités (paiement sans contact, par exemple). Il est donc pertinent de passer votre contrat au crible : un simple changement de banque ou de grille tarifaire peut générer une économie sur le long terme.
Selon un article paru sur le site L’Hôtellerie Restauration (https://www.lhotellerie-restauration.fr), près de 60 % des restaurateurs déclarent qu’ils ne négocient pas (ou très rarement) leurs frais bancaires chaque année. Pourtant, il est vivement conseillé de confronter les offres pour négocier un pourcentage de commission plus avantageux. Comme pour l’achat des ingrédients, la comparaison des tarifs permet de faire jouer la concurrence.
Pour réduire ces coûts, certains restaurateurs choisissent de multiplier les modes de paiement (cash, carte, chèque-vacances, ou même les cryptomonnaies pour les plus novateurs). Mais la vraie question reste : se disperser est-il vraiment rentable ? Sur le papier, plus on propose de solutions, plus on a de chance de capter un large panel de clients. Toutefois, attention à ne pas cumuler les équipements et abonnements inutiles qui engendreraient, in fine, des frais supplémentaires.
En cuisine, rien de pire qu’un four ou un piano mal dimensionné. Dans la salle, un terminal de paiement non adapté pèse sur la fluidité du service. Son choix doit être motivé par des critères précis, comme la vitesse de transaction, la fiabilité, ou encore la possibilité d’accepter différents types de cartes et de moyens de paiement. Pensez également à vérifier si l’option « paiement sans contact » est déjà comprise. Ce mode de règlement, devenu la norme pour 64 % des consommateurs (chiffre relevé à partir d’une étude menée par un organisme bancaire français en 2022), accélère sensiblement la rotation des tables tout en réduisant les files d’attente.
Plus le matériel est performant, moins vous perdez de temps avec des pannes ou des lenteurs. Bien sûr, la location (ou l’achat) d’un matériel de qualité représente un investissement. Mais pensez-y comme aux couteaux de votre chef : on ne lésine jamais sur la qualité, parce que l’efficacité s’en ressent immédiatement. Si vous optez pour la location, lisez bien le contrat : frais de maintenance, d’assurance, changement de terminal en cas de panne… tous ces points doivent être très clairement établis.
Outre la location, comparez ce qui se fait sur le marché. Certains terminaux de paiement se connectent désormais en Wi-Fi ou en 4G, ce qui garantit une mobilité totale. Si votre restaurant dispose d’une terrasse, ce simple détail peut faire la différence. Accueillir le client pour encaisser, là où il se trouve assis, donne à la fois une impression de modernité et offre un gain de temps pour le personnel.
Au-delà des frais bancaires, des commissions ou du terminal, un facteur majeur est trop souvent négligé : le temps de vos équipes. Chaque minute passée à courir entre la caisse et la salle, à gérer des erreurs de caisse, ou à s’excuser pour un terminal qui ne fonctionne pas, représente un coût caché. Il se traduit à la fois en stress, en fatigue et en répercussions sur le service rendu.
En adoptant un système de paiement modernisé, vous pouvez mobiliser votre personnel sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, comme l’accueil, le conseil gastronomique, ou encore la vente additionnelle. Pour cela, vous pouvez notamment opter pour des solutions de paiement par QR code, comme celle proposée par sunday. Les clients scannent, règlent en quelques secondes, et peuvent même laisser un pourboire digital. Vos serveurs retrouvent du temps pour chouchouter les clients au lieu de multiplier les allers-retours.
En d’autres termes, réduire les coûts d’encaissement ne signifie pas seulement rogner sur les commissions, c’est aussi libérer de l’énergie pour le personnel. Rappelez-vous : qui dit expérience client de qualité, dit fidélisation, ce qui rentabilise plus vite vos investissements. Et cela vaut toutes les com’ négociées au centime près.
Les bons outils de gestion permettent de centraliser les données de vente, de synchroniser votre système de caisse et d’automatiser certaines tâches administratives. Avec un logiciel adapté, vous pouvez par exemple :
Ce gain de temps en back-office est immense. En effet, d’après la Chambre de Commerce et d’Industrie France (https://www.cci.fr), les tâches administratives et comptables peuvent représenter jusqu’à un tiers du temps de travail d’un.e gérant.e de restaurant. Automatiser ces pans-là, c’est se libérer l’esprit pour mettre l’accent sur l’essentiel : la qualité de votre offre et la satisfaction de vos clients. Et comme on le sait, un fan d’un bon plat (ou d’un dessert, si vous êtes adepte du sucré) revient souvent, et parle de vous autour de lui.
Centraliser, c’est aussi s’assurer une meilleure traçabilité des encaissements. Chaque paiement est enregistré et associé à la commande. Vous limitez ainsi les erreurs et les disputes sur d’éventuels manquants. Et si vous misez sur un outil capable d’intégrer le pourboire et le partage d’addition, vous faites d’une pierre deux coups. Vous offrez un service sur-mesure à vos clients tout en évitant les casse-têtes d’addition séparée en fin de repas.
La dématérialisation, c’est passer à des reçus digitaux, proposer la facture par e-mail ou via un QR code, et limiter la consommation de papier. Pourquoi ? Parce que l’impression des tickets représente un petit coût unitaire qui, multiplié par le nombre de transactions, finit par peser. Sans compter l’impact environnemental, qui peut être un argument de plus en plus important pour séduire une clientèle soucieuse de durabilité. De plus, vous gagnez de la place en stockage, puisqu’il n’y a plus de boîtes de rouleaux de papiers à entasser en réserve.
Là encore, un outil comme sunday facilite la dématérialisation. Grâce à un simple scan de QR code, votre client peut confirmer sa note, laisser un commentaire, et vous évaluer sur Google s’il le souhaite. Vous soignez votre réputation en ligne, tout en évitant les montagnes de papier. C’est un bon moyen de donner une image moderne et responsable à votre établissement, tout en réduisant vos charges.
Beaucoup de restaurateurs font l’erreur de considérer l’encaissement uniquement comme la dernière étape du repas. Pourtant, c’est souvent le dernier souvenir que garde votre client de l’expérience globale. Une facture trop floue, une attente exagérée pour payer, ou la découverte d’un surplus inattendu (par exemple, des frais de carte hors zone euro) peuvent laisser un goût amer.
À l’inverse, un encaissement fluide et transparent renforce la confiance. Cela contribue à la fidélisation. Or, un client fidèle peut dépenser jusqu’à deux fois plus qu’un nouveau client, selon certaines estimations du secteur. Offrez-lui la possibilité de payer rapidement, de laisser un pourboire s’il est satisfait, et de recommander votre restaurant en un clic : vous maximisez ainsi chaque étape. C’est un peu comme glisser une petite madeleine (ou un macaron) en fin de repas : ce petit geste fait toute la différence et ne coûte pas grand-chose.
La digitalisation du paiement répond à plusieurs enjeux. D’abord, vous réduisez le temps d’attente. Ensuite, vous offrez plus d’autonomie à la clientèle, qui décide de déclencher le paiement au moment souhaité. Enfin, vous disposez d’une source de feedback immédiat, puisque certains de ces outils donnent la possibilité de laisser un avis ou une note directement à la fin du paiement.
Le paiement par QR code, tel qu’il est proposé par sunday, présente plusieurs avantages :
En fin de journée, vous gagnez à tous les niveaux : économie de temps, plus de fluidité, et une réduction sensible des erreurs possibles dans l’encaissement. Encore une fois, vous pouvez alors compter les minutes économisées comme un vrai atout, investissable ailleurs dans votre établissement.
Les habitudes de consommation et de règlement ne cessent d’évoluer. Le paiement mobile progresse rapidement, et nombre de clients apprécient désormais de tout gérer via leur smartphone. Les restaurateurs qui prennent ce virage dès maintenant s’assurent un avantage concurrentiel : ils s’adaptent aux exigences d’une clientèle jeune et connectée. Les autres risquent de voir filer une partie de leur clientèle vers un établissement plus en phase avec l’ère numérique.
Adapter votre système à ces nouveaux usages n’est plus un luxe, mais bien une nécessité. Que vous soyez un petit bistrot de quartier ou un concept gastronomique avant-gardiste, envisager un outil capable de traiter divers moyens de paiement s’avère un gage de pérennité. Dans cette optique, la solution de sunday peut être un réel levier, car elle permet à la fois de satisfaire les clients habitués au paiement par carte classique et ceux qui se tournent vers les solutions dématérialisées.
On pourrait résumer la quête d’économies à un simple changement de prestataire bancaire. Mais en réalité, il s’agit plutôt d’un processus continu. Les tarifs peuvent évoluer, vos volumes de transactions aussi. Peut-être aurez-vous l’an prochain une saison plus dense, avec des événements spéciaux ou une terrasse supplémentaire. Alors, prenez l’habitude de revoir régulièrement vos contrats et vos dispositifs d’encaissement. Ajustez-les à l’évolution de votre activité.
De la même façon que vous acceptez de revoir votre carte au fil des saisons pour proposer des produits frais, adaptez vos systèmes de paiement pour qu’ils continuent à faciliter et non à entraver votre service. Au moindre signe d’essoufflement (pannes répétées, surcoûts trop élevés, frustrations des clients), posez-vous la question d’un changement. Votre rentabilité en dépend, et votre sérénité aussi.
Contrairement à une idée reçue, chercher à diminuer les coûts d’encaissement n’a rien de contradictoire avec une expérience client haut de gamme. Bien au contraire : la plupart des optimisations réduisent à la fois vos charges et les frictions pour vos consommateurs. C’est un double avantage que de nombreux restaurateurs ignorent parfois. En simplifiant l’encaissement, vous séduisez des clients pressés, vous valorisez ceux qui aiment prendre le temps, et vous rassurez ceux qui souhaitent une transparence totale sur la note.
Grâce à des outils dédiés comme sunday, vous maximisez ces synergies. Vous donnez plus d’autonomie au convive, tout en gardant la main sur l’interface et la personnalisation. Vous pouvez encourager le feedback, proposer un menu interactif ou même des offres promotionnelles à la fin du paiement. Vous vous offrez ainsi un canal direct de communication, sans aucun coût supplémentaire lié à l’impression de flyers ou de menus spéciaux.
Tout investissement intelligent doit être vu comme un prolongement de votre stratégie. Il ne s’agit pas seulement d’économiser quelques euros sur un terminal de paiement, mais bien de renforcer la structure de votre restaurant sur la durée. Quand votre système d’encaissement est performant, votre équipe est plus détendue et peut se concentrer sur l’essentiel. Dans un contexte concurrentiel fort, présenter une addition sans faille est un critère non négligeable.
Si vous cuisinez un plat signature, vous attendez de votre service qu’il le mette en valeur. De la même façon, si vous mettez toute votre énergie dans l’animation de votre restaurant, vous attendez que les encaissements se fassent comme sur des roulettes. Au-delà des économies directes, cet impact qualitatif fait toute la différence, car il renforce la réputation de votre établissement.
Dans le secteur de la restauration, chaque détail compte : l’origine des ingrédients, la qualité du décor, la fluidité du service. L’encaissement, souvent négligé dans les priorités, fait pourtant partie intégrante de l’expérience client. Optimiser ses coûts d’encaissement, c’est à la fois préserver sa marge et rehausser son image de marque.
Ces dernières années ont montré l’importance d’être réactif et flexible. Les clients attendent toujours davantage de rapidité et de simplicité à chaque étape de leur visite. D’où l’intérêt de solutions comme sunday, qui répondent à ces attentes tout en réduisant les coûts. Elle fluidifie le paiement, encourage le pourboire et facilite le recueil des avis. Ainsi, vous complétez votre cuisine d’un ingrédient parfois sous-estimé : le confort de paiement.
En choisissant un matériel et un prestataire adaptés, en automatisant certaines tâches, ou encore en proposant le règlement via un QR code, vous apparaissez comme un restaurateur connecté, proche des besoins du moment. Et c’est là toute la différence : vous ne coupez pas seulement dans vos dépenses, vous préparez aussi l’avenir de votre établissement. Un client qui constate qu’il peut régler en un instant, laisser un commentaire positif et partir avec le sourire en se sentant libre et respecté, c’est un client qui a envie de revenir. À vous de jouer.
